A la Gloire des Maines

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Le Maine Coon à travers les écrans

Les Maine Coons au cinéma & à l’écran — un hommage aux géants poilus
Si vous aussi vous admirez ces majestueux chats aux oreilles touffues, à la queue en panache et au caractère souvent “gentil géant”, cette page est pour vous.
Ici, on retrace les apparitions les plus marquantes des Maine Coons (ou de chats identifiés comme tels) dans les films, séries ou dessins animés — quand le plumage compte presque autant que le caractère.

Diva dans Chien et Chat (2024)

Dans le film français "Chien et Chat" (sorti le 14 février 2024), réalisé par Reem Kherici, Diva, une Maine Coon, est l’une des héroïnes centrales. Diva est une chatte star d’Internet, adorée de sa propriétaire Monica, et le film joue beaucoup sur le contraste entre cette célébrité féline et les mésaventures absurdes qu’elle traverse (et qu’elle provoque !) lors d’un road-trip entre Montréal et New York. 

   

Anecdote : Reem Kherici avait l’idée depuis des années de faire un film autour de son propre chat Maine Coon, Diva, qu’elle mettait déjà beaucoup en avant sur les réseaux sociaux.

Ce film tourne en boucle à la maison !  Ma fille en est complètement fan.  Hasard ou pas, je ne sais pas, mais les chiens ne font pas des ... chats !


Mrs Norris dans Harry Potter (2001-2011)

Dans la saga "Harry Potter", Mrs Norris est le chat du concierge Argus Filch. Dans les films (le premier Harry Potter et la Pierre Philosophale est sorti en 2001, puis la série continue jusqu’à Harry Potter et les Reliques de la Mort – 2 en 2011), elle est incarnée par plusieurs chats de race Maine Coon : Maximus, Alanis, Cornilus, etc. 

   

Anecdotes : L’une des Maine Coons (Alanis) était réputée pour son calme, à l’aise dans les bras de Filch sans se débattre.
Mrs Norris apparaît dans plusieurs scènes cultes, dans le film Harry Potter et la Chambre des Secrets elle est pétrifiée par le Basilic ; Dans les derniers films, ses yeux qui étaient rouges deviennent bleus.


Lucio dans Ripley (2024)

Dans la mini-série "Ripley" (Netflix, 2024), Lucio est un Maine Coon nommé “King”. Le réalisateur s’est efforcé de trouver “le bon chat” : King est un Maine Coon pur, choisi pour son caractère calme, son aisance devant la caméra et sa présence.

   

Anecdote : Le chat acteur “King” n’a pas été le premier choisi, il y a eu des essais, plusieurs chats ont été auditionnés / testés, et King a été retenu pour sa capacité à supporter les répétitions, les prises, etc.


Church (Winston “Church” / Leo, Tonic, etc.) dans Pet Sematary (2019)

Dans le remake de "Pet Sematary" (2019), le chat “Church” (dont le nom complet est Winston Churchill) est joué par plusieurs Maine Coons : Tonic et Leo sont les plus visibles, d’autres chats étaient des doublures.

   

Anecdotes : Leo, l’un des Maine Coons vedettes pour Church, a été adopté par le dresseur après le tournage.
Le film et l’équipe ont dit à plusieurs reprises que les chats “étaient des divas sur le plateau” !  Chaque chat avait ses propres forces (un chat excellent pour rester immobile, un autre bon pour le regard inquiétant, etc.).


Bluebeard dans Felidae (1994)

Dans le film d’animation allemand "Felidae" (sorti en 1994), tiré du roman d’Akif Pirinçci (publié en 1989), on rencontre Bluebeard (Barbe-Bleue), un Maine Coon borgne, puissant et dur à cuire, qui joue un rôle important dans l’intrigue.  C’est lui qui, malgré ses cicatrices, agit comme mentor / allié de Francis, le chat détective. 

   

Anecdote : Le film parle non seulement de meurtres de chats, mais aussi de thèmes plus lourds comme la reproduction, les expériences génétiques, et la sélection naturelle / raciale dans l’univers félin. Bluebeard, avec son passé sombre (enfance dans un laboratoire, mutilations), incarne cette idée que la race (ou la façon dont un chat “est fait”) peut influencer le destin.


Roger et l’élevage - Quand la fiction nous glisse une idée sans qu’on s’en rende compte

Si les Maine Coons ont eu leurs moments de gloire au cinéma, il est intéressant de noter que les films mettent rarement en avant le métier d’éleveur en tant que tel. Pourtant, beaucoup d’entre nous avons vu, sans vraiment y prêter attention, un personnage devenu éleveur sous nos yeux… mais pas de chats, de chiens !

Et c’est un classique de Disney qui nous a glissé cette idée presque en toute discrétion…

Dans "Les 101 Dalmatiens" (le classique Disney, sorti en 1961), à la fin du film, Roger dit à Anita qu’ils vont ouvrir un élevage de dalmatiens, le tout sur une magnifique et joyeyse chanson "La maison du rêve". 

Pour beaucoup, c’est un détail qu’on ne remarque pas forcément du premier coup — après toute l’aventure, les chiens à sauver, les méchants, etc., l’idée qu’il deviendrait éleveur est presque un bonus, un rêve idéalisé, pas un choix professionnel clairement exposé dès le départ.

Ce qui est frappant, c’est que, malgré tout l’amour qu’ont les animaux dans les fictions, aucun autre film grand public (à ma connaissance) ne met encore en avant de façon aussi visible un éleveur de chats de race, ou un personnage dont le métier est “éleveur de Maine Coons”, comme Roger le fait pour les dalmatiens.

J’espère un jour voir une fiction dans laquelle un personnage assumera ce rôle de façon claire et positive — élever avec passion, responsabilité, amour, dans une intrigue qui rend hommage à l’animal, à la race, aux soins.


Sources & Références




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